dimanche 28 juin 2009

Praton

Oh mon enfant, comme vous avez une grosse bite ! Pas grave si elle bande mou, je suis bien trop contente de vous voir, on pourra en discuter autour d'un barbecue, à la viande trop sèche, à la viande trop cuite, et à la viande qui crame et qui dissimule tout.

Comme c'est difficile pour vous, ô la la, et les aspirateurs dans le cul, et d'autres tâches à la petite cuillère, trop de tracas et les papiers s'entassent. Qu'est-ce que tu crois.

Vous êtes si fortes, dit-il, avec sa voix de truie. Nous aimons ce que vous nous envoyez en retour. Sous la boue, ta tête, se fracasse.

Envisager le rapport d'un volet remonté aux trois-quarts. L'aumône est toujours bonne à prendre. Pour qui me prends-tu. Prends le comme tu veux, prends le comme tu le sens, prends le comme tu en as envie.

Des conneries à la pelle, et en faire des tissages. L'un après l'autre l'enfiler, comme des antennes sans parabole, simplement piquantes et trop d'émissions.

Ce n'est pas si facile de rationaliser les choses et de les mettre au clou, à la perceuse, au tournevis électrique, dans une oreille la chose est pourtant simple.

Quelles mauvaises pensées s'égrènent sur tes lobes, qu'est-ce qu'une palissade, sinon un garde-fou, qui peut se consumer.

Qu'as tu donc à te reprocher et à dévider ainsi : il y a un problème, incontestablement

Grande malade.